Dépêches
Lancement de service — 18/06/2018
Coface lance un nouveau service pour guider les entreprises dans la mise en conformité avec l’IFRS 9
(AOF) - Avec la nouvelle norme IFRS 9 (outil de classification des instruments financiers), entrée en vigueur en janvier 2018, les entreprises doivent immédiatement mettre en œuvre des systèmes comptables plus précis et prédictifs qui leur permettent d’évaluer les pertes de crédit attendues (ECL) pour chacune de leurs créances commerciales. Face à ce constat, l’assureur-crédit Coface a lancé son nouveau service «Coface Reserve 9» pour aider les entreprises à calculer préciséemnt leurs ECL et les accompagner dans la mise en conformité avec l’IFRS 9.
Selon une enquête réalisée par Coface auprès de ses clients, à la fin du premier trimestre 2018, plus de la moitié des entreprises assujetties à cette réglementation n'étaient qu'au stade préliminaire de la mise en place de l'IFRS 9. Les entreprises les plus avancées dans le processus, quant à elles, n'avaient pas encore achevé leur transition. Comparé aux réglementations précédentes, le passage à cette nouvelle norme requiert davantage de ressources de la part des entreprises : une plus grande expertise, un rythme trimestriel et un flux de données continu et de qualité sur les ECL des partenaires commerciaux. Or, les entreprises ne sont pas toujours en possession de ces informations.
Un modèle de calcul des pertes de crédit attendues a donc été développé sur la base des solutions en ligne pour l'analyse du risque de crédit et de la prise de décision. Coface Reserve 9 permet aux entreprises d'identifier, d'évaluer et de prédire les risques liés à leurs créances commerciales, simplement et avec précision, et ainsi de calculer leurs pertes potentielles.
"Coface Reserve 9 est une nouvelle opportunité de répondre aux besoins de nos grands clients, en les accompagnant dans un environnement réglementaire en mutation. En tant que spécialiste de la gestion des risques commerciaux, Coface a développé une méthodologie utile pour guider les entreprises dans la dépréciation de leurs réserves de créances commerciales", a expliqué Karine Damman, directrice de Coface Global Solutions.